Les rivíeres Misahualli et Napo sont suffisemment paisibles
et profondes sur le trajet qui va en aval des deux riviéres, depuis la jetée ou d'un peu plus haut pour commencer á alimenter en énergie les cales du bateau.
Les nombreux piroguiers de Misahualli, plus Carly, ancien mécanicien de la marine de Cuba nous font réver en affirmant que les deux moteurs, que vous voyez sur la photo, peuvent se récupérer. Ils ne sont aparemment pas tant altérés, l'eau douce de la riviére les aura méme protégé de l'oxydation, quand elle les a imergés. La main d'oeuvre locale est une des plus compétentes en la matiére, car dans cette zone, on apprend á faire des miracles avec tout. On n'est peut-étres spécialistes de rien mais connaisseurs sur beaucoup de choses...Une bonne assistance de Volvo ("Súr", en Suédois), sur laquelle nous comptons comme sur la votre: le bateau est alors en voie pour Belen du Para (Brésil)...
Ou plus.
